Laréciproque étant vraie, on prend aussi conscience de l'existence de notre propre Arnold; on peut alors essayer de le maîtriser lorsque quelqu'un s'y prend mal pour nous faire prendre conscience de quelque chose, et essayer de voir au delà des apparence pour comprendre le message qu'on veut nous faire passer. Chantal - 28 Jun. 2016.

La Conscience représente nos pensées, ce que nous sommes, c'est la seule chose qui nous est propre . Nos pensées sont des vibrations créatrices - Nous vivons ce que nous pensons, c'est le Pouvoir créateur que Dieu nous a donné. La Souffrance vient du choix de la Conscience de vivre séparée de Dieu, le flot abondant de la VIE! la Séparation est une grande illusion. Notre conscience est portée en permanence par le corps de matière l'élément TERRE = les atomes = la manifestation physique de la vie = Dieu manifesté sur le plan physique et tous les atomes de l'Univers baignent en permanence dans l'océan vibratoire de la vie = l'élément EAU = le corps vibratoire de Dieu qui met en forme la matière sur la grille de l'espace et du temps. Nous vivons tous dans le corps physique et le corps vibratoire de Dieu 24h/24h, il n'y a donc aucune séparation !!! je rappelle que Dieu est Amour, nous baignons dans son Amour à chaque instant , tout nous est donné en abondance , et c'est nous qui choisissons de ne pas le reconnaitre et de vivre séparé de lui ! la Conscience est une expérience de Dieu Dieu a créé la conscience pour voir ce qu'elle va choisir de créer avec ses pensées. Pour ne pas perturber l'Univers Originel Parfait, l'expérience de la Conscience se fait dans un rêve individuel que Dieu à créé pour nous. Dans notre rêve individuel , Nous avons le choix de créer notre vie 1 - avec sa guidance le Créateur , la seul VERITE est alors notre seul Maitre et nous créons avec lui notre Paradis individuel ici et maintenant dans la Matière 2 - ou sans sa guidance Nous choisissons de vivre séparé de lui et l'illusion de nos croyances , l'EGO devient alors le Maitre de notre vie et tout seul , nous sommes très loin de vivre le Paradis ici et maintenant NOUS AVONS TOUS LE CHOIX DE CHOISIR AVEC QUI ON VEUT VIVRE CETTE EXPERIENCE DE LA CONSCIENCE !
Maisde nombreux chercheurs sous-estiment l’ampleur du défi, convaincus que nous devons simplement continuer à examiner les structures physiques du cerveau pour déterminer comment elles produisent la conscience. Le problème de la conscience, cependant, est radicalement différent de tout autre problème scientifique. Quel est l'objet de la conscience ? La conscience est-elle un ­rapport immédiat de soi à soi, ou suppose-t-elle un détour par des ­personnes ou des objets extérieurs, une médiation ? I La conscience comme visée de » ou relation à » 1 Les limites de la conscience comme forme vide Le sujet peut‑il se saisir comme conscience, comme sujet pensant, par simple ­retour sur soi, par simple introspection, ­indépendamment de tout rapport aux choses ou à ­autrui ? Ces questionnements soulignent la faiblesse d'une conscience fondée sur une simple introspection coupée du monde, d'une conscience isolée comme substance autosuffisante et comme forme vide. mot-clé L'introspection est une vue intérieure, le fait, pour un sujet, d'observer et d'analyser ses états de conscience en vue de se connaître lui-même. Descartes sortira du doute grâce à la découverte de la véracité divine. Il pourra dès lors compléter sa conception première du cogito par la connaissance du monde. 2 La conscience comme intentionnalité La conception chosifiante de la conscience est critiquée par la phénoménologie de Husserl. Si Descartes a eu raison de vouloir mettre le monde entre parenthèses pour redécouvrir le caractère fondateur de la conscience, son tort a été de considérer la conscience comme une chose pensante pouvant exister par elle-même, indépendamment des choses matérielles. mot-clé La pensée de Husserl 1859-1938 s'appelle une phénoménologie parce que, selon lui, la tâche de la philosophie est de décrire les phénomènes, c'est‑à‑dire ce qui apparaît à la conscience. Pour Husserl, la conscience ne peut être une chose refermée sur elle-même elle est une visée ou une relation ouverte. Elle n'est pas une substance, mais un acte, défini par son intentionnalité ». Dans ses Méditations cartésiennes, Husserl écrit que toute conscience […] est conscience de quelque chose. » II Les manifestations de la conscience 1 La conscience du monde par l'action La conscience présuppose le monde, parce que nous nous reconnaissons d'abord dans nos actions sur les choses, à travers le langage et le travail. Loin d'être un présupposé, la conscience est un résultat, le produit d'une expérience de confrontation et de transformation du monde. Hegel insiste sur cette condition essentielle d'une conscience de soi véritable le monde est une médiation nécessaire entre nous et nous-mêmes. En effet, il ne s'agit pas d'un monde brut et naturel, mais d'un monde transformé, que nous avons façonné et qui porte la marque de l'esprit. C'est une véritable lutte pour la reconnaissance », un combat à mort que, d'après Hegel, l'homme mène pour s'imposer à l'autre comme conscience. La conscience de soi passe par le fait qu'autrui me reconnaît comme un être libre. 2 La conscience comme liberté Sartre s'oppose lui aussi à la chosification de la conscience. Les objets sont entièrement déterminés par leurs propriétés et ne peuvent rien être d'autre que ce qu'ils sont. Ils sont, comme dit Sartre, en-soi ». Leur essence précède leur existence. Le sujet conscient, quant à lui, est un pour-soi » il peut toujours être différent, il n'est pas enfermé dans une définition. Parce qu'il est conscient, l'homme est projet, dit Sartre, et non objet. Il n'est pas produit passivement par sa naissance, sa famille ou la société, comme un animal ou un robot ; il est avant tout dans le choix conscient de sa vie. L'existence de l'homme précède son essence. Par la conscience, l'homme, seul, existe car ex-sister » c'est sortir de soi, être à distance de soi-même. Et par la conscience l'homme est libre dans sa possibilité de dépasser ce qu'il est. Ledocument : "Husserl, « Toute conscience est conscience de quelque chose »" compte 536 mots.Pour le télécharger en entier, envoyez-nous l’un de vos travaux scolaires grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques ou achetez-le pour la 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID baWPK0HXL2YoIEdhCBGjZgeVMMn_RKJIqkXOQK9TNmsVMa7HYtDwFw==

Certes la phénoménologie a enseigné que toute conscience est conscience de quelque chose, et nous ne saurions oublier que ce que nous voyons, en regardant dans un miroir, c’est bien un reflet et non directement nous-même. Le sujet, ici, traite de la conscience de soi, et de son exactitude. Or, cela implique de revenir à cette fameuse

La conscience est un pouvoir de représentation. Avoir conscience qu'il y a une personne dans la pièce » ; être conscient de ma joie » signifie que j'ai la connaissance d'une présence dans l'espace ou de mon état moral. Je m'en aperçois ; je me les représente. La conscience est une expérience de présence à soi, aux autres et aux choses enveloppant une connaissance d'elle-même. L'étymologie en témoigne. Le mot est formé de science et de cum avec. La conscience est un savoir accompagnant ma pensée, mes actions, mon être au monde. Etrange pouvoir que ce pouvoir de représentation. Car qu'est-ce qui le rend possible ? Prenons avec Alain, l'exemple du dormeur. Il est en situation d'inconscience. Il n'a plus conscience qu'il y a un monde et qu'il y est présent. Il fait partie d'un ensemble dont il ne se distingue pas. Sa condition se caractérise par l'absence de toute forme d'écart entre lui et le monde, entre lui et lui-même. Aussi est-il immergé dans le monde à la manière des choses, sous une forme massive et opaque. Maintenant efforçons-nous de saisir le moment du retour à la conscience. Le dormeur se réveille, il rompt la totalité dans laquelle il était englué, il se sépare de lui-même et du monde, et cette opération de division, de séparation lui permet de se donner la représentation de sa chambre, de son lit, de son corps allongé dans son lit, de son désir de dormir encore un peu. Dans le sommeil, je suis tout mais je n'en sais rien. La conscience suppose réflexion et division. La conscience n'est pas immédiate. Je pense et puis je pense que je pense, par quoi je distingue Sujet et Objet, Moi et le monde, Moi et ma sensation, Moi et mon sentiment, Moi et mon idée » Alain. Manuscrits inédits 1928. La conscience est ce par quoi il peut y avoir un sujet qui se représente et un objet représenté. Par elle s'opère la scission Sujet/ Objet. Le sujet doué de conscience se pose comme un sujet, un Je, en face d'objets. Il n'est pas dans le monde chose parmi les choses il fait face au monde et tout ce qui constitue ce monde moi, autrui, les choses se met à exister comme un objet de représentation. Il s'ensuit que l'immédiat échappe à l'expérience humaine. Dès lors que s'opère la scission sujet-objet, la chose est à distance et médiatisée par une représentation. Elle est visée par la conscience qui essaie de se l'approprier symboliquement à travers des signes. La faculté symbolique est substantiellement liée au fait de conscience. la temporalisation est une dimension fondamentale de notre expérience. A chaque instant présent j'ai conscience de moi-même mais la division que la conscience introduit en moi fait retomber au passé tout ce que je ne suis déjà plus et projette dans l'avenir ce que je ne suis pas encore. La conscience est mémoire et projet. le monde est jugé. Se représenter ne consiste jamais à se donner de manière neutre le spectacle de quoi que ce soit. Avec la conscience il y a toujours une reprise critique de ce qui est. Le monde est dévoilé en fonction de valeurs esthétiques, morales, intellectuelles etc. J'ai conscience de ce que j'écris et je juge que c'est vrai ou c'est faux, j'ai conscience de ta présence en face de moi, et je me dis que tu es beau aujourd'hui, j'ai conscience de la décision qui vient d'être prise politiquement et je juge que c'est juste ou injuste. La conscience est toujours implicitement morale. Et l'immoralité consiste toujours à ne point vouloir penser qu'on pense et à ajourner le jugement intérieur » Alain Définitions. Avouons qu'il y a dans le fait de conscience un mystère. Comment ce morceau de matière que je suis peut-il sortir de lui, se tenir à distance d'une réalité qu'il est aussi, pour se mettre à exister dans le double statut de sujet de la représentation et d'objet représenté ? Méditer le fait de conscience revient ainsi à méditer notre expérience la plus familière et pourtant la plus étonnante. Les questions que je vais affronter dans ce chapitre sont les suivantes De toute évidence, la conscience confère à l'existence humaine des caractéristiques spécifiques. Lesquelles ? Comment rendre intelligible le fait de conscience ? La conscience est-elle un être, une substance comme l'analyse Descartes ou bien est-elle un acte, une intentionnalité comme la décrivent les phénoménologues ? Husserl, Merleau-Ponty Comment penser l'expérience humaine du corps ? Faut-il dire que j'ai un corps ou que je suis mon corps, que le corps est un corps sujet ou un corps objet ? Est-il possible de sortir de l'ambiguïté qui fait que je suis mon corps tout en l'ayant ? La conscience est-elle transparente à elle-même comme l'analyse Descartes ou bien faut-il avec Freud soupçonner qu'il y a dans notre expérience psychique, une part d'ombre récusant le projet moral d'une souveraineté exigible de la conscience ? Dire Je, Moi, revient à présupposer une unité et une identité personnelle. Qu'en est-il de cette prétention ? Qu'est-ce que l'identité ? Une donnée ou une construction ? Une réalité ou une fiction ? Un être ou un devoir-être ? BIBLIOGRAPHIE Descartes Discours de la méthode. Méditations métaphysiques. Nietzsche Le gai savoir. Bergson L'énergie spirituelle. Freud Essais de psychanalyse. Nouvelles conférences de psychanalyse. Métapsychologie. Alain Eléments de philosophie. Sartre L'Etre et le Néant. Merleau-Ponty Sens et non-sens. L'oeil et l'esprit Partager Marqueursconscience, division, dualisme âme corps, inconscient, intentionnalité, représentation, scission sujet objet, séparation, substance pensante
HUSSERL «Toute conscience est conscience de quelque chose.»On trouve cette citation dans la seconde partie des « Méditations cartésiennes » (1929). Husserl (1859-1938) est le fondateur de la phénoménologie et le précurseur de ce que l'on nomme l'existentialisme. Le mot d'ordre de la phénoménologie est le retour aux choses mêmes.
ajouter que les choses et la conscience n'ont pas la même manière d'être. L'existence propre de la conscience estcette capacité de se transcender, de se projeter vers autre chose, de porter un rapport au monde auquel, par-làmême, elle est présente. Husserl tire deux autres conséquences de ce caractère majeur de la conscience. Si je perçois un cube, je déclare Je vois un cube ». Or, en toute rigueur, je ne peux pas voir les six faces du cube à la fois. Cela signifie que ma conscience ne s'en tient jamais à ce qui lui est donné ici et maintenant. Je vois deux faces du cube, mais j'anticipesur celles que je vais voir, ou je me remémore celles que j'ai vues. Autrement dit, une autre caractéristique de laconscience est d'établir des synthèses, de relier ce qui est perçu ici et maintenant avec ce qui l'a été ou ce qui lesera. Ce qui amène à dire que la conscience est temporelle, effectue ses synthèses dans le temps. Autrement dit, la citation signifie d'abord que la conscience est toujours le mouvement de se dépasser vers autrechose, de viser autre chose. Mais il faut aussi comprendre que si ce que je vise les deux faces du cube a unesignification pour moi je sais et comprends que j'ai affaire à un cube, c'est que ma conscience a la capacité dedépasser ce qui lui est simplement donné pour le lier à d'autres représentations passées ou futures. Le but et l'ambition de la phénoménologie sont le retour aux choses mêmes. Parlant de la révolution d' Einstein , Husserl déclare Ainsi Einstein ne réforme pas l'espace et le temps où se déroule notre vie d'être vivant ». Loin de comprendre ceci comme une attaque contre les sciences auxquelles fut formé Husserl , il faut le comprendre et comme une attaque contre le scientisme, et comme la nécessité d'un retour aux questions centrales du sens De simples sciences de faits forment une simple humanité de faits. Dans la détresse de notre vie cette science n'a rien à nous dire. Lesquestions qu'elles excluent par principe sont précisément les questions qui sont les plus brûlantes à notre époquemalheureuse ce sont des questions qui portent sur le sens ou l'absence de sens de toute existence humaine. » L'ambition de la phénoménologie est donc de questionner le sens, de retrouver le sol où se déroule notre vie d'êtrevivant, de fonder une science de l'esprit en tant qu'esprit. Celle-ci commence par la découverte de cette propriétéparticulière de la conscience d'être toujours présence et rapport au monde, et non intimité fermée sur elle-même. Ence ses, la pensée existentialiste en est l'héritière, et la leçon de Husserl vaut toujours. La méthode phénoménologique □ La phénoménologie est la description des phénomènes, c'est-à-dire de ce qui se présente immédiatement dans laconscience. Le phénomène est saisi dans une intuition qui précède tout jugement et toute réflexion. Il est ce qui semontre soi-même à la conscience. La méthode phénoménologique n'est pas celle d'une science positive, elle n'estpas explicative il faut décrire le phénomène tel qu'il se donne, dans la signification qu'il a pour la conscience, enécartant délibérément les thèses de la science à propos de la réalité objective correspondant à ce phénomène.□ La phénoménologie ne se confond pas non plus avec une psychologie. La phénoménologie oriente son interrogationnon pas d'abord vers les faits dans leur réalité factuelle, externe ou interne, mais vers leur réalité pour laconscience, c'est-à-dire vers les significations de ce que nous avons dans l'esprit. Ces significations constituent lephénomène comme tel. L'intentionnalité de la conscience □ Les phénomènes psychiques ont pour caractéristique fondamentale, selon Husserl, d'être en relation avec uncontenu, orientés vers un objet qui n'est pas au-delà de la conscience, mais lui est immanent. La vie de laconscience est ainsi caractérisée comme vie intentionnelle » toute conscience est conscience de quelquechose.□ L'intentionnalité signifie l'annulation de la séparation classique sujet/objet. Ce qui se vit d'abord, c'est la corrélation intentionnelle » de la conscience et de l'objet auquel elle est présente. La conscience n'existe que sousla forme d'une relation déterminée avec un objet. L'objet n'est pas une chose en soi mais est pour un sujet, c'est-à-dire est sens pour lui. Il n'y a pas, par exemple, une conscience en général qui en viendrait à l'occasion à percevoircet arbre, sans être affectée au fond par cet événement particulier. La conscience, au contraire, existe commeconscience qui perçoit cet arbre, la perception de cet arbre est la forme que prend l'être de la conscience à ce. »
LaConscience représente nos pensées, ce que nous sommes, c'est la seule chose qui nous est propre . Nos pensées sont des vibrations créatrices - Nous vivons ce que nous pensons, c'est le Pouvoir créateur que Dieu nous a donné. La Souffrance vient du choix de la Conscience de vivre séparée de Dieu, le flot abondant de la VIE! Pas de conscience sans objet toute conscience se situe toujours par rapport à un objet vers lequel elle est tendue elle est donc dirigée vers un contenu autre qu’elle-même. Même si je ne pense à rien, ce rien » est encore pour la conscience pensante un objet vers lequel elle se projette. Toute conscience est conscience de quelque chose » ainsi se définit une des caractéristiques importante de la conscience son intentionnalité. Ma conscience est intentionnellement tournée vers les objets de son expérience. Intentionnalité une opération de la conscience qui l’oriente vers des objets de son expérience pour leur donner du sens. La conscience n’a pas de dedans » Mais Husserl n'est point réaliste cet arbre sur son bout de terre craquelée, il n'en fait pas un absolu qui entrerait, par après, en communication avec nous. La conscience et le monde sont donnés d'un même coup extérieur par essence à la conscience, le monde est, par essence, relatif à elle... Vous saviez bien que l'arbre n'était pas vous, que vous ne pouviez pas le faire entrer dans vos estomacs sombres et que la connaissance ne pouvait pas, sans malhonnêteté, se comparer à la possession. Du même coup, la conscience s'est purifiée, elle est claire comme un grand vent, il n'y a plus rien en elle, sauf un mouvement pour se fuir, un glissement hors de soi; si, par impossible, vous entriez dans » une conscience, vous seriez saisi par un tourbillon et rejeté au-dehors, près de l'arbre, en pleine poussière, car la conscience n'a pas de dedans » ; elle n'est rien que le dehors d'elle-même et c'est cette fuite absolue, ce refus d'être substance, qui la constituent comme une conscience. Imaginez à présent une suite liée d'éclatements qui nous arrachent à nous-mêmes, qui ne laissent même pas à un nous-mêmes » le loisir de se former derrière eux, mais qui nous jettent au contraire au-delà d'eux, dans la poussière sèche du monde, sur la terre rude, parmi les choses ; imaginez que nous sommes ainsi rejetés, délaissés par notre nature même dans un monde indifférent, hostile et rétif ; vous aurez saisi le sens profond de la découverte que Husserl exprime dans cette fameuse phrase Toute conscience est conscience de quelque chose ». Sartre Situations I, Une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl p. 31-35. Ma conscience se nourrit de l’objet expérimenté mais, en même temps, ce dernier prend sens en fonction du regard que je porte sur lui, de ma manière de me le représenter, de mon point de vue sur lui, etc. Conscience et monde ne sont donc pas deux entités distinctes mais sont constituées par une indissociable relation. Ma conscience s’efface devant ce qu’elle donne à voir ou révèle, lorsqu’elle est confrontée à l’indéterminé. Ainsi, dans une ville inconnue, j’ai tendance à structurer ce que je vois en lui donnant du sens. Et nous constituons les objets sans nous apercevoir de ce pouvoir. regard →sens. Cf. l’arbre perçu depuis ma fenêtre il existe une objectivité de l’arbre couleurs, formes, éléments constitutifs, etc. indépendante de mon regard. Mais ma projection vers l’arbre peut être différente selon le moment, l’angle de vue, ma conception de la nature, etc. D’où toute conscience, tout cogito ne se comprend que par sa relation aux objets, par sa manière intime de les viser. De plus, parce que le conscience vise les objets de différentes façons, l’intentionnalité n’est pas de type unique selon que je doute, aime, hait, désire, craint ou imagine, elle constitue l’objet de manière particulière. La conscience comme conscience de…ou intentionnalité "La perception de cette table est, avant comme après, perception de cette table. Ainsi, tout état de conscience en général est, en lui-même, conscience de quelque chose, quoi qu’il en soit de l’existence réelle de cet objet et quelque abstention que je fasse, dans l’attitude transcendantale qui est mienne, de la position de cette existence et de tous les actes de l’attitude naturelle. Par conséquent, il faudra élargir le contenu de l’ego cogito transcendantal, lui ajouter un élément nouveau et dire que tout cogito ou encore tout état de conscience "vise" quelque chose, et qu’il porte en lui-même, en tant que "visé" en tant qu’objet d’une intention, son cogitatum respectif. Chaque cogito, du reste, le fait à sa manière. La perception de la "maison" "vise" se rapporte à une maison - ou, plus exactement, telle maison individuelle - de la manière perceptive ; le souvenir de la maison "vise" la maison comme souvenir ; l’imagination, comme image ; un jugement prédicatif ayant pour objet la maison "placée là devant moi" la vise de la façon propre au jugement prédicatif ; un jugement de valeur surajouté la viserait encore à s manière, et ainsi de suite. Ces états de conscience sont aussi appelés états intentionnels. Le mot intentionnalité ne signifie rien d’autre que cette particularité foncière et générale qu’a la conscience d’être conscience de quelque chose, de porter, en sa qualité de cogito, son cogitatum en elle-même. " E. Husserl, Méditations cartésiennes. La conscience est donc donatrice de sens. C’est pourquoi elle peut quérir un sens à tout prix, c’est-à-dire chercher à se rassurer. Elle pose donc sa thèse générale du monde. Ainsi, lorsque je perçois spontanément un objet, cela suppose en arrière-fond toutes mes expériences antérieures, c’est-à-dire une conscience réfléchie qui réactualise dans l’instant les étapes de constitution du monde par lesquelles j’ai originairement donné du sens. Mais cela peut poser problème lorsque j’ai défini le monde d’une certaine manière, je peux me contenter de mon regard initial. Mais le monde peut-il se réduire au regard que je porte sur lui ? Comment devons-nous orienter notre regard étant donné l’intentionnalité naturelle de notre conscience ? La phénoménologie, en ce sens, n’exige-t-elle pas un changement radical d’attitude, c’est-à-dire une réforme de notre regard sur les choses ? source Cest (une) conscience de. C'est un cas de conscience de. Si vous avez encore des scrupules, qu'à cela ne tienne : tout cas de conscience est respectable (Sandeau, M lle de La Seiglière, 1848, p. 118). C'est un mot de vérité que je te demande, et il ne faut pas te faire conscience de me le dire (Sand, François le Champi, 1850, p. 136).
Message d’ÉliosNous Vous amenons à être de plus en plus en Conscience de ce que Vous Êtes, mais il Vous faut accepter de lâcher tout ce que Vous cherchez pour comprendre certaines données dans lesquelles, de toute façon, Vous ne Vous retrouverez pas. Il Vous faut lâcher votre mode penser » et être présents à Vous, être présents en l’ réalité, mes Amis, est l’expression de ce que Vous émettez et c’est en cela qu’il Vous faut être conscients de tout ce que Vous émettez en l’instant. Maintenant, Vous avez traversé tant de choses, Vous avez été impactés par tout ce que l’on a fait de Vous, par bien des croyances, par bien des peurs effectives, qu’il Vous faut maintenant Vous retrouver et aller au-delà de tous les conditionnements et de tout ce que Vous avez cru qu’était cette réalité telle que l’on Vous a amené à la que Vous Êtes est une Conscience élevée, c’est une Puissance dans l’Amour, c’est quelque chose qui Vous amène de plus en plus à concevoir la vie différemment, autrement que tout ce que l’on Vous a amenés à vivre, et c’est ainsi que Vous allez ressentir de plus en plus la réalité de ce que Vous êtes de plus en plus en Conscience et pourtant Vous avez peur de vivre la réalité de ce que Vous Êtes parce que Vous êtes très attachés à tout ce que Vous avez été, et en même temps Vous comprenez combien tout n’est pas la réalité et combien tout ne Vous amène pas à vivre pleinement ce que Vous Êtes, ce qui Vous amène des controverses et à ne pas être pleinement en Conscience de ce que Vous Vous faut alors décider de ressentir que Vous puissiez véritablement vivre une autre réalité que celle que Vous vivez, mais sans ne plus Vous identifier à quoi que ce soit ou à Qui que ce soit et de Vous permettre d’être Vous en Vous en l’instant et de dépasser tout ce que Vous n’avez plus à Amis, Vous avez à comprendre que Vous Vous retrouvez et que graduellement Vous êtes à même de ressentir que tout ce que Vous Êtes va Vous amener à vivre une autre réalité, car Vous serez alors en résonance avec la réalité qui est ce que Vous cela demande une véritable expression en Soi pour aller au-delà de tout ce qui peut se créer dans la non-conscience d’Être, et bien sûr de ne plus être aspirés dans tout ce qui est émis par toutes les forces de l’ombre quelles que soient ces forces. Vous êtes à la fois une Conscience qui confère à l’Humain d’être ce qu’Il est et Vous avez une interaction avec ce qui est votre Conscience élevée, en sachant que Vous êtes à même de vivre ce que Vous Êtes en étant dans cette réalité, mais sans ne plus Vous identifier à tout ce que l’on a voulu que Vous soyez, mais bien de ressentir combien Vous pouvez vivre ce que Vous êtes à même de ressentir au-delà de tout ce qui a programmé votre Conscience êtes à même de pouvoir comprendre et ressentir que tout ce que Vous allez vivre est maintenant une réalité dans laquelle Vous allez pouvoir émettre bien des choses, mais plus comme Vous le faisiez, mais bien plus en corrélation avec ce que ce Monde est à même de vivre dans la magnificence de tout ce qui peut amener des Êtres à vivre ce qu’Ils ont véritablement envie de créer, et surtout de ne plus jamais être aux prises avec tout ce qui n’est pas la Puissance en Elle-même, de tout ce qui n’est pas la réalité engendrant de puissantes réalisations pour une vie de parfaites créations englobant tous les Êtres où qu’Ils c’est en cela que Vous ne Vous rendez pas compte de l’importance de tout ce que Vous émettez qui, encore une fois, contrairement à ce que Vous croyez, n’est pas la réalité que Vous devez chercher, mais bien d’être Vous en Vous en Conscience et en l’instant. Chacune de vos pensées est une émission qui se manifeste, et qu’en cela Vous vivez l’exacte réalité de ce que Vous émettez, et il va être important que Vous n’émettiez que ce que Vous-mêmes désirez vivre sans ne plus Vous référer à tout un processus dans lequel on Vous a amenés pour que Vous pensiez comme on veut que Vous allez comprendre qu’en réalité Vous êtes à même de vivre ici, tout en sachant que Vous avez la possibilité d’Être et de vivre à la fois ce que votre Conscience humaine peut émettre dans ce que Vous avez à vivre en quelque sorte certaines réalités liées à cette vie terrestre, tout en étant en parfaite corrélation avec votre Conscience Supérieure avec Laquelle Vous pouvez créer votre réalité sans qu’aucune interférence ne puisse s’interposer dans ce qui est votre véritable Conscience d’ Conscience d’Être Vous ramène toujours à Vous-mêmes en l’instant, et c’est ce qui fait que tout peut être transcendé en l’instant, que tout peut être dépassé sans que Vous ne Vous perdiez dans ce qui émerge et que Vous êtes à même de dépasser. La Conscience d’Être c’est la Puissance ressentie où à chaque instant Vous pouvez ressentir que tout peut être vécu autrement que ce que Vous vivez. C’est ainsi que graduellement les choses se manifestent, c’est ainsi que Vous pouvez Vous exprimer dans la pure expression et ressentir que tout peut être vécu en l’instant dans ce que Vous êtes à même de en Conscience ne permet plus des interactions par Vous-mêmes au niveau de l’Humain, par Vous-mêmes dans vos façons d’être, par Vous-mêmes dans votre façon de Vous exprimer, mais Vous amène à ressentir les choses à bien d’autres niveaux et surtout à ressentir ce qui Vous est impulsé, ce qui dans l’Amour peut être exprimé pour que chaque Être ressente ce qui est déployé à travers Vous. Lorsqu’un Être agit par Lui-même et que rien n’est ressenti par Ceux qu’Il côtoie ou par Ceux qui viennent à Lui, cela veut dire que l’Être n’est pas en Conscience et qu’Il agit par Lui-même, cela veut dire que rien ne s’effectue à des niveaux être en Conscience d’Être c’est aussi ne plus se retourner, c’est ne plus vouloir maintenir quoi que ce soit dans cette réalité humaine telle que Vous l’avez vécue, telle que Vous perdurez à vouloir la maintenir comme si c’était ce que Vous croyez qu’est votre est la compréhension que tout se vit en l’instant dans la Puissance déployée, dans l’exacte réalité qui Vous correspond, dans l’exacte réalité qui est la vôtre, sans ne plus rechercher quoi que ce soit en Qui que ce pure Conscience ne peut être entachée par tout ce qui Vous a impactés dans l’Humain, il Vous faut donc prendre conscience de Vous permettre d’Être et de ressentir ce que Vous Vous êtes à même d’Être. Vous êtes à même de vivre l’instant dans la réalité que Vous Êtes, Vous êtes à même de ressentir qu’en étant Vous en Vous en l’instant, Vous puissiez ressentir que Vous pouvez être Vous, Vous en cet instant, Vous sans Vous Conscience d’Être c’est être Vous en Vous et graduellement Vous acheminer dans la Puissance où Vous ressentirez que Vous êtes bien autre chose que tout ce que Vous avez cru Amis, Vous êtes à même de vivre ce que Vous Êtes et Vous devez décider de Vous retrouver et vivre en Conscience ce que Vous Êtes, vivre en Conscience que Vous êtes en réalité des Êtres qui avez la faculté de créer dans la Puissance qui en Vous Vous amène à ressentir que tout peut se vivre dans la pure expression, dans l’Amour, dans l’intégrité et dans la joie d’ c’est par YawaehPartagé par de votre faisant un don, vous aidez à maintenir ce site en ligne et ainsi, vous contribuez à l'élévation de la Conscience personnel et planétaire. Avec tout mon Amour... 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Corrigéde la dissertation : Toute conscience est conscience de quelque chose. Husserl.«Connaître, c’est “s’éclater vers”, s
La méditation est l’une des clés du développement spirituelle. crédit image Bpilgrim La conscience pure et l’identification à elle sont des étapes spirituelles très difficiles à cerner, mais que l’on ne peut pas ignorer lorsqu’on les atteint, tant elles sont puissantes, tant l’expérience qui en découle change à jamais les êtres qui l’ont connue. Pour beaucoup, ce ne seront que des buts jamais atteints mais vers lesquels cheminer pour s’améliorer sans cesse. Cela reste tout aussi noble et il serait dommage de s’en priver. La conscience pure, qu’est-ce que c’est ? La conscience pure, c’est la conscience de toute chose, sans l’idée d’avoir conscience. C’est l’expérience la plus directe à l’être. On voit, on sait, on sent, sans aucune barrière entre soi et l’expérience, sans que jamais ne s’interpose entre soi et l’objet l’idée que l’on observe, que l’on sent, que l’on voit, que l’on vit une expérience. Non, au contraire, l’on vit cette expérience d’une manière totale, on est tout à elle, on est elle. On dépasse son ego, sa personne, sa personnalité, pour accéder à la conscience des choses telles qu’elles sont véritablement, sans que nous ne les modifions par notre jugement, notre expérience, notre volonté, nos attentes et tout ce qui altère notre conscience et notre perception. Nous nous extirpons des stéréotypes qui modifient ce que nous percevons. Nous dépassons les sens et leurs imperfections pour accéder à la conscience objective de toute chose. C’est alors un stade supérieur de l’être auquel on accède, dépassant le plan matériel pour accéder à la vérité de tout. Une expérience de la réunion Pour la conscience pure, les divisions, les frontières, les différences apparentes n’existent pas, puisqu’elle s’identifie à tout et que tout est elle. C’est ainsi que l’on découvre un autre état de chaque chose, loin des jugements que sont les divisions, les différences. Grâce à la conscience pure, il est possible de voir au-delà de ces frontières et de ces limites qui nous servaient auparavant à établir des classification. On voit désormais comme chaque chose trouve sa place dans le tout, comme les évènements, les objets, les pensées… participent à construire ce tout. Soi-même, l’on se sent intégré à un tout, l’on dépasse ce que l’on pensait être notre personnalité pour trouver une place dans la totalité que l’on peut désormais cerner. Cesser de rendre personnel tout ce que l’on croise La conscience pure nous permet également de nous détacher de tout ce que l’on croise sur son chemin. Nous ne réduisons plus tout ce qui nous arrive à une expérience personnelle et à un fait que nos élaborations mentales façonnent d’une manière partielle et partiale. Nous dévoyons ce qui arrive en pensant que cela nous arrive, alors que cela ne fait que survenir. La conscience pure est un but que l’on doit travailler à atteindre, tout en restant suffisamment humble pour accepter de ne jamais l’atteindre. C’est en sachant ainsi que l’on ne pourra probablement jamais le faire que l’on dégage notre pratique d’une motivation néfaste. La conscience pure est la recherche d’une vie entière, mais chaque pas fait en sa direction vous apportera énormément. Sujets abordés dans cet article abolition des différences conscience pure étape spirituelle pure conscience Partagez notre article sur vos réseaux sociaux Vous pourriez également apprécier
Consciencede soi : Je est un autre. Sachant que « toute conscience est conscience de quelque chose » selon Brentano et Husserl (1900), la conscience de soi peut être définie comme la conscience que l’individu a de lui-même à tout point de vue : physique, perceptif, mental, émotionnel.. - Elva Etienne. Publié le 07/03/2016 Spécificité humaine – Une pensée historique et sociale DE QUOI PARLE-T-ON ? La conscience. La conscience est à la fois une réalité intérieure et une capacité. Nous sommes conscients et nous le savons les deux sont indissociables !. Cela s’impose à nous depuis notre enfance. Cela nous donne une liberté et des possibilités extrêmes. La conscience, spécificité humaine. Si un être humain perd sa conscience, c’est la qualité même de son existence qui disparaît. Les plantes et les animaux peuvent très bien vivre sans conscience, mais pas les hommes. LA DEFINITION Les différentes facettes de la conscience sont les suivantes – Pouvoir formuler pour soi-même ou les autres ce que l’on éprouve, désire, pense. – Admettre que tout ce qui m’arrive dans le temps concerne bien une seule et même entité durable moi-même. – Entendre » en moi-même des jugements sur la valeur morale de ce que je fais. – Trouver évident que cette vie intérieure que je ressens en moi existe aussi et globalement de la même façon chez tous les autres êtres humains les psychologues appellent cela avoir une théorie de l’esprit ». Certains animaux ont-ils une conscience ? Les facettes citées ci-dessus sont indissociables de la pensée, elle-même indissociable du langage. En étudiant scientifiquement le comportement animal, on se rend compte que les animaux se repèrent très efficacement dans leur environnement. Mais c’est seulement chez les plus proches de nous, les grands singes, qu’une vraie sensibilité aux autres et une représentation assez abstraite pourraient frôler la conscience. LA CITATION Toute conscience est conscience de quelque chose ». – La conscience est une pensée et une visée. Est-elle banale, cette phrase de Husserl, l’un des plus importants philosophes du XXe siècle ? Pas du tout, si on la comprend comme une mise au point. Il n’y a pas de conscience vide, dans l’absolu, sans contenu. Donc, on ne peut pas se satisfaire du célèbre Je pense, donc je suis », affirmé par Descartes au XVIIe siècle, qui peut donner l’impression d’une conscience pure et simple. Je suis, j’existe, bien sûr, mais il faut préciser que je pense nécessairement quelque chose, ou à quelque chose. Selon Husserl, par nature, la conscience est une visée, donc une fenêtre ou un projecteur qui choisit nécessairement ce qu’elle éclaire. C’est la notion de champ de conscience». – La conscience est inscrite dans son temps. Symétriquement, la conscience ne peut pas être autre chose que l’être-conscient ». Toute conscience est celle de quelqu’un, bien situé dans son époque, dans son rôle parmi les autres. C’est Marx qui faisait au siècle précédent cette autre mise au point. Il n’y a pas de conscience anonyme, flottante, de tout le monde et de personne. Elle est nécessairement historique et sociale. On peut partir de l’intériorité de l’individu, à l’instar d’Husserl, ou de la société autour de lui, comme Marx. La question à se poser, c’est la conscience… de quoi ?… de qui ? Pour plus de révisions, s’abonner au magazine Phosphore Guides. kOyfSSK.
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